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Gestionnaire de Patrimoine

15 juin 2015

Comment détecter les meilleurs contrats d’assurance-vie ?

Les épargnants français préfèrent de loin l’assurance-vie aux autres types de placement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 199 milliards d’euros de CA et 21 milliards d’euros de collecte nette en 2014 ; 1558,7 milliards d’euros d’encours pour le mois d’avril 2015 et une collecte d’un montant de 2,3 milliards d’euros pour le même mois. Cependant, si les contrats d’assurance-vie sont rentables, il existe certains points à prendre en considération et qu’il faut reconnaître à partir des critères suivants.


 

Un contrat d’assurance vie qui s’inscrit dans la durée

Un assuré signe un contrat car les dispositions de celui-ci lui conviennent. Si un type de contrat d’assurance-vie est favorable à l’assuré, il faut qu’il reste sur le marché et ne doit être en aucun cas remplacé sauf si les avantages attribués à l’assuré sont tangibles dans le nouveau type de contrat.  Un contrat d’assurance-vie est donc :

- meilleur s’il a une existence d’au moins pendant plus de 12 ans,

- moyen s’il est présent sur le marché entre 4 à 8 ans.

- de 4 ans, il est difficile de se prononcer pour un contrat.

Un contrat d’assurance vie qui présente le moindre frais

- Le frais d’entrée

Payer un frais d’entrée élevé équivaut à suspendre l’épargne, pourquoi ? Parce qu’il faut un certain temps (aux alentours de 2 ans) à l’assuré pour amortir les frais sur versement. Pour qu’un contrat d’assurance soit rentable au maximum, il ne doit avoir aucun frais d’entrée (cas des assurances en lignes) ; le frais est encore tolérable aux environs de 2% mais au-delà de 4%, le contrat peut être qualifié de moins bon.

- Le frais de gestion

S’il est élevé ; le frais de gestion constitue à long terme un manque à gagner pour l’assuré. En effet, un contrat qui stipule un frais de gestion de l’ordre de 1% transfère 20% du capital vers le compte de l’assureur. Un prélèvement de 0,5% annuel au maximum est le signe que le souscripteur va beaucoup gagner. Entre 0,51 et 0,7 %, le frais de gestion est profitable à l’assuré, et entre 0,71 et 0,9% c’est dans la limite du raisonnable. Un prélèvement supérieur à 0,9% et c’est l’assureur qui sort gagnant du contrat.

- Le frais d’arbitrage

Quand il s’agit de contrat multi-support, il faut prendre garde au frais d’arbitrage. En effet, l’assureur encaisse le frais d’arbitrage. Si l’idéal est que l’arbitrage soit gratuit, le mieux est que frais d’arbitrage n’excède pas le 0,8% du montant du capital.

Source: Externe

Un contrat d’assurance vie qui privilégie l’intérêt de l’assuré

Il faut faire une légère analyse de rémunérations octroyées par les contrats d’assurance. Celui qui offre le maximum de rendement (supérieur à la moyenne) est celui qui est meilleur. Il faut également que l’assurance-vie demeure assez souple pour permettre à l’assuré d’obtenir l’un des privilèges suivants :

- recevoir une avance en cas de besoin,

- effectuer un retrait partiel sans perdre la rémunération sur les sommes retirés,

- avoir la possibilité de transformer son capital en rente viagère.

 

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18 mai 2015

Le gestionnaire de patrimoine pour faire fructifier vos avoirs

La gestion de patrimoine est un concept ayant fait son apparition dans les années 1990. Généralement, les cabinets de gestion de patrimoine offrent un large éventail de services financiers à leurs clients. Ses prestations comprennent souvent une planification financière globale, une gestion des placements, un investissement immobilier, une optimisation fiscale ainsi qu’une gestion de trésorerie. Le recours à un gestionnaire de patrimoine est utile pour les particuliers disposant d’un portefeuille d’actifs diversifiés et nécessitant l’aide d’un professionnel pour la gestion.


 

Quelquefois, les services proposés par cet expert de la finance incluent une gestion globale de l’actif de son client, allant des tâches de trésorerie courante jusqu’à la planification à long terme d’une fiducie ou d’une succession. Les particuliers font généralement appel à un gestionnaire de patrimoine pour trouver des solutions de placements sécurisés et performances ou pour optimiser leur note fiscale. Quand il est question d'impôts, il collabore souvent avec des cabinets d’avocats, qui vont l’aider à rédiger tous les rapports et déclarations, et à obtenir des conseils sur les éléments fiscaux en rapport avec une succession. En général, un cabinet de gestion de patrimoine dispense des conseils destinés à répondre au mieux aux intérêts de son client. Face à la crise, de plus en plus d’entreprises familiales n’hésitent plus à recourir aux prestations de ce spécialiste pour les aider dans leur structuration ou lors d’un rachat ou d’un partenariat avec une autre société.

Pourquoi choisir un gestionnaire de patrimoine ?

Les domaines de compétences d’un gestionnaire de patrimoine comprennent les conseils financiers et l'investissement, les services de comptabilité et de fiscalité, et la planification juridique et immobilière. Les personnes fortunées, les propriétaires de petites entreprises ou encor les particuliers de cadre moyen pourraient profiter de l’expertise de ce professionnel pour assurer la gestion de leurs actifs, la planification successorale, les ressources juridiques, professionnelles et la fiscalité ainsi que certaines opérations bancaires complexes.

Les gestionnaires de patrimoine travaillent à optimiser le chiffre d’affaires, accompagner la croissance et maximiser la situation fiscale à long terme des investisseurs fortunés. Beaucoup de banques proposent les mêmes prestations, mais pour un résultat garanti et une stratégie adaptée au mieux à votre situation personnelle, l’idéal serait de se tourner vers un expert de la gestion de patrimoine.

 

Source: Externe

 

Pourquoi avez-vous d’un plan global de patrimoine ?

Travailler avec un conseiller financier pour élaborer un plan global de patrimoine procure un sentiment de sécurité et de confiance. Le processus consiste à analyser votre situation financière, sonder vos objectifs et vos rêves et, finalement, mettre en place une stratégie efficace pour gérer au mieux votre patrimoine, avec une meilleure maîtrise des placements et des revenus.

Aujourd’hui, de plus en plus de cadres moyens consultent ce professionnel pour les aider à planifier leur retraite ou les aider à choisir parmi les différents dispositifs de placements.

Enfin, cet expert reste d’un bon conseil pour tout ce qui concerne le domaine financier, juridique ou la fiscalité.

13 mai 2015

Investissement locatif : Pourquoi investir en Pinel ?

Destiné à relancer la construction et répondre à la pénurie de logements qui sévit dans certaines zones à fortes tensions, le dispositif de défiscalisation Pinel vient succéder à la loi Duflot. Avec des incitations fiscales plus avantageuses, cette nouvelle mesure qui porte le nom de l’actuelle titulaire du portefeuille, Sylvia Pinel, continue de faire recette. Voici les raisons pour lesquelles vous aimerez investir en Pinel.


 

Un crédit d’impôt allant jusqu’à 21 %

L’investissement vous permet de bénéficier de récupérer une partie de votre investissement initial, sous la forme d’une réduction fiscale. En contrepartie de ce bonus, vous vous engagez à louer le bien, neuf ou réhabilité, et dont le montant est plafonné à 300 000 euros, pour un minimum de 6 ans. A laquelle pourra s’ajouter une prorogation de deux périodes triennales. Ainsi, le crédit d’impôt sera de 12 % pour 6 ans, 18 % pour 9 ans et 21 % pour 12 ans.

Par ailleurs, le bien devra se situer dans une zone à forte pénurie de logements et respecter des critères de performance énergétique. Le dispositif concerne les opérations réalisées entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2016. Sans surprise, l’investissement est soumis au plafonnement des loyers.

Une autre nouveauté prévue par le dispositif de la loi Pinel : la possibilité de louer le bien à un membre de la famille (parents ou enfants).

L’investissement en Pinel est accessible aussi bien aux particuliers qu’à une Société Civile de placement immobilier (SCPI).

Comme pour le dispositif Duflot, les ressources des locataires sont soumises à un plafonnement, dans le but de privilégier l’accès au logement aux ménages modestes.

Source: Externe

L’immobilier : une valeur refuge

En temps de crise, comme celle que nous traversons aujourd’hui, la pierre reste une valeur refuge indéniable. De plus, en investissant dans l’immobilier, vous aurez la possibilité de vous constituer un patrimoine, que vous lèguerez à vos descendants.

À cela s’ajoute le fait que la pierre offre une rentabilité brute intéressante, qui peut atteindre 10 % à Mulhouse, dans la sous-préfecture du Haut-Rhin. Un cran juste au dessus de celle de Limoges (9,7 %), de Saint-Étienne (8,8 %) ou encore de Perpignan (8,7 %). Ces chiffres ont été publiés par le site Rendementlocatif.com, qui vient de passer au crible les annonces diffusées sur les grands sites d’annonces immobilières.

Et la baisse des taux d’intérêt aidant. L’investisseur gagne en pouvoir d’achat. Depuis l’après-guerre, jamais les prix des crédits immobiliers n’ont été aussi abordables. Fin mars, les Français ont pu emprunter à 2,21 % toutes durées confondues. La conjoncture permet ainsi aux ménages modestes, jusqu’ici exclus du marché, de faire leur grand retour. Et les taux d’intérêt des prêts à l’habitat devraient encore s’inscrire sur une année glissante, si l’on en croit les perspectives de certains courtiers, tels que Meilleurtaux.

Bref, avec la contraction des taux d’intérêt, la baisse des prix et les réductions fiscales très avantageuses, il ne faut plus hésiter à franchir le pas.

 

11 mars 2015

Quelles sont les intérêts d’une SCPI

Chaque année, les sociétés civiles de placement immobilier ou SCPI attirent davantage de nouveaux épargnants qui veulent compenser leur manque à gagner en matière de revenus lorsqu’ils seront en retraite. Voici un petit tour d’horizon sur les avantages que vous pouvez tirer des SCPI.

Les principaux avantages

Parmi les plus importants avantages de la SCPI, il y a l’accès au marché immobilier grâce à des tickets d’entrée modérés. S’il faut des dizaines de milliers d’euros pour pouvoir faire un investissement en direct, les SCPI permettent de le faire à partir de seulement quelques milliers d’euros. Vous pouvez alors accéder plus facilement au marché de l’immobilier d’entreprise qui est le plus souvent difficile à intégrer pour les particuliers. Outre ces intérêts, les sociétés civiles de placement immobilier vous apportent également une tranquillité en tant qu’investisseur. En effet, vous n’aurez pas à vous occuper vous-même la gestion de vos biens immobiliers. Ce sera votre société de gestion qui se chargera de cette activité. À titre d’exemple, si vous choisissez la gestion en direct, il vous faudra beaucoup de temps pour sélectionner vos locataires, assurer l’entrée ainsi que la sortie de ces derniers, réaliser plusieurs travaux d’entretien, etc. Bien entendu, vous pouvez déléguer ces tâches à des agences immobilières, mais sachez que la rentabilité de votre bien se dégradera dans la mesure où votre agence facturera aussi ses honoraires.

Prévoir l’avenir et mutualiser les risques

La majorité des acquéreurs des SCPI visent à toucher des revenus supplémentaires et de manière régulière à leur retraite. Mais ce n’est pas tout ! La SCPI est aussi une excellente option pour mutualiser les risques, à part le fait qu’il est tout à fait possible de faire une diversification (ce genre d’investissement intègre en effet plusieurs types de biens comme les bureaux, les commerces, les locaux et dans différents endroits. Mais comme tout investissement, n’oubliez pas qu’il y a toujours des risques, soit celui de la perte en capital soit celui de vacance locative.

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